Presse – Waka Douvan Jou

Labellisation du spectacle « Waka Douvan Jou »

par le ministère de la Culture

Waka Douvan Jou est une création chorégraphique de Gwo ka. Cette pratique artistique de Guadeloupe classée au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco en 2014 associe trois domaines d’expression…

Article paru dans « Cultiver les langues » – Délégation générale à la langue française et aux langues de France

Max Diakok nommé chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres

par Fleur Pellerin ministre de la culture

Le Pélican (quotidien francophone de Saint-Martin) – décembre 2014

 » Si, sans surprise, la danse de Max Diakok, passé maître et référence dans le genre, impressionne ; les quatre autres acteurs sur scène savent aussi et sans conteste s’imposer. Rosy Leen est absolument épatante, tant en danse qu’en jeu d’actrice, passant avec une dextérité déconcertante, de la petite fille qui refuse d’aller dans une école trop triste, à la diablesse très inquiétante qui a pour mission d’éteindre le soleil. Excellents musiciens, Emmanuel Reveille et Jony Lerond proposent à l’assistance une transe rythmique, grâce à leurs percussions mais aussi en produisant d’incroyables bruits de bouche lorsque les tambours disparaissent et que les hommes n’ont plus que leurs corps pour s’exprimer. Enfin, d’une présence implacable et d’une classe absolue, le maître de cérémonie, le conteur Philippe Cantinol, lance, dans une diction à la fois lancinante et ciselée, des mots d’une beauté brute parfois empruntés à Ernest Pepin (Tambour Babel) et Guy Tirolien (Prière d’un petit enfant nègre). »

Lukuber Séjor / Luc Hubert Séjor, chroniqueur, France TV Guadeloupe 1ère

Tournée 2014 : « Un régal mélangeant paroles dites, paroles chantées, récit habilement raconté et des gestuelles parfaitement rythmées. L’ensemble nous transporte au firmament. » En créole : «Sé on sòs a pawol palé, pawol chanté, istwa byen rakonté é jès dè kò byen byen kadansé. Tousa ka chayé-w, ka menné-w alè « au firmament».

St Martin’s Week, 1er décembre 2014

« A voir absolument »

Guadeloupe 1ère, Laura Philippon – 26 novembre 2014

Le Gwoka sur la liste du PCI de l’UNESCO Interview de Max DIAKOK FranceTV

France Antilles – 27 novembre 2014

Retour sur les ateliers pédagogiques au Domaine St Jacques (Martinique)

France Antilles – 25 novembre 2014

« Une réappropriation artistique de l’histoire de la Caraïbe, et plus particulièrement de la Guadeloupe »

Valérie Vilovar, Directrice du Ciné Lamentin – 25 novembre 2014

 « Le spectacle était merveilleux. Ce sont des professionnels avec beaucoup de travail, talents et grâce. Merci pour cette belle prestation. »

Benoit Lagarrigue – décembre 2013

« Cette pièce laisse l’imaginaire ouvert pour tous. Elle ne concerne pas que les Guadeloupéens. Tout le monde peut s’y retrouver : les Antillais à travers l’esclavage, les ouvriers à travers l’exploitation, les originaires du Maghreb à travers les printemps arabes… » « Les allusions à l’histoire sont bien sûr fortes, mais c’est avant tout un univers merveilleux. »

Mondomix, Benjamin Minimmum – 4 octobre 2012

La nuit Gwoka réveille les sens. A propos du spectacle Waka Douvan Jou. « Il est question d’un arbre à sons qui inspire aux villageois un élan de liberté réprimé par les pouvoirs publics. Cette métaphore de l’histoire de la Guadeloupe de l’esclavagisme à l’affirmation de l’identité créole est une belle entrée en matière à cette Nuit Blanche dédiée au gwoka… »

Gens de la Caraïbe – 30 janvier 2006

Article sur WAKA DOUVAN JOU dans Gens de la Caraïbe 30/01/06 (V Larose)

Le JSD – 1er décembre 2012

Portrait

Pari Outre Mer 32 – juillet 2012

« la Délégation générale à l’Outre-Mer et la Compagnie Boukousou ont présenté du 23 au 25 avril, à l’auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris, un conte musical, poétique. Philippe Cantinol, le conteur, Max Diakok (danseur-comédien), Jony Lerond dit Somnanbil, Emmanuel Reveille dit Biloute (musicien comédien) et Lydie Fesin (danseuse) ont enchanté les six cents enfants des centres de loisirs de Paris venus assister à cette représentation. Les enfants ont posé de nombreuses questions aux artistes à l’issue de la représentation. »

« Paraboles du corps, Odyssée abyssale, Un rituel pour enlacer l’espace, une espèce de krik pour interpeller la cour quand elle dort »

Cie Boukousou

19 Rue de la Boulangerie
93200 Saint-Denis

Contact

compagnieboukousou@gmail.com
06 68 52 77 17