Tout public dès 6 ans

Distribution

Max Diakok (danseur et chorégraphe)
Bago Balthazar, Roger Raspail, Dominique Tauliaut (percussionnistes)
Jean Grison (régisseur), Jean-Pierre Népost (création lumières)
Claire Risterrucci & William Bobongo (Costumes)
Rico Toto, Lin Canfrin, Robert Loyson, Gérard Lockel (Musique de la bande son)
Extrait de « Cahier d’un retour au pays natal » d’Aimé Césaire.

Production

Compagnie Boukousou

Pawòl a kò pawòl a ka

Création 2008

Pawòl a kò pawòl a ka (création 2008), « Parole du corps, parole du tambour Ka « . Cette pièce est un voyage initiatique aux confins de nos mémoires créoles, à l’instar de celui de Ti Jean L’horizon, personnage des contes traditionnels caribéens réputé pour sa pugnacité et sa capacité d’adaptation.

Dans cet univers onirique foisonnant d’images, équilibre et déséquilibre, ahan et néant, éloquence et silence ne constituent que divers aspects de la même quête : être debout entre terre et ciel, accueillir les traces héritées des ancêtres tout en balisant son chemin de l’ombre vers la lumière (45 ou 30 minutes). Le point de départ de cette pièce sont les deux solos « Au verso de l’Oubliance », 2005, et « Hors Kabouya », 2006.

Représentations

Festival Lyannaj/Paris avril 2013
Cmac Scène Nationale de Martinique février 2013
Festival « A pas de Corps » Théâtre de la Girandole, Montreuil février 2013
Maison des Cultures du Monde, Paris décembre 2012
Rencontres chorégraphiques – Sonis, avril 2012, Guadeloupe
Centre National de la Danse (CND), Pantin mars 2012, représentation professionnelle
Assises de l’Outre mer, Saint-Denis (93) nov 2011
Théâtre de la Reine Blanche, Paris 2010. Festival Kabaa 2010 Paris
Festival Outre Mer-Autres Terres, Portes de l’Essonne 2009
Festival Vibrations Caraïbes, Paris, 2008
A partir de Hors Kabouya & Verso de l’Oubliance : Festival Orkesztika Alapìtvàny (Budapest Hongrie) 2006, 2005 : Finaliste du concours en 2005
Leap Dance Festival-MDI (Liverpool, UK), 2006

Extrait presse : (Traduit de l’anglais) « …le Théâtre se remplit des sons et tumultes de la rue, de sirènes et de trafic. Les mouvements du danseur, pas noués et nerveux, traduisent parfaitement la tension autour de lui. Graduellement, l’atmosphère changea et les sons de la forêt ainsi que ceux des grenouilles coassantes et des crickets prirent le relai de la musique. La danse de Max Diakok devint alors fluide et organique. » Flat Feet, Leap Festival (Liverpool, UK), Helen GREY, Catalystmedia (2/03/06).

« Paraboles du corps, Odyssée abyssale, Un rituel pour enlacer l’espace, une espèce de krik pour interpeller la cour quand elle dort »

Cie Boukousou

19 Rue de la Boulangerie
93200 Saint-Denis

Contact

compagnieboukousou@gmail.com
06 68 52 77 17