Presse – J’habite une blessure sacrée

Gérald Rossi, L’humanité – 6 juillet 2018

« Des gestes aussi bien millimétrés que les projections qui parviennent à donner une profondeur d’image en 3D à l’ensemble, notamment quand le corps se démultiplie sur la scène et sur les écrans entrainant le spectateur dans un univers qui restera jusqu’au final gravé dans les incertitudes de l’homme ».

Amélie Blaustein Niddam, Toute la culture.com – 4 juillet 2019

« L’extrême mobilité du danseur nous met dans une transe qui décale ce que l’on voit et ce que l’on ressent. Tout le propos est ici entre beauté et horreur. Le titre de la pièce est tirée d’un poème d’Aimé Cesaire. La strophe suivante dit « J’habite des ancêtres imaginaires », c’est exactement ce que Max Diakok réussit à provoquer. »

Bénédicte Gattère, Toute la culture.com, novembre 2018

« Ici, la mémoire est corps et la danse, le lieu de l’incarnation. Le corps n’est plus seulement vecteur d’un rythme, d’une histoire, d’identités plurielles et recomposées au gré des gestuelles, il est le pivot d’une réflexion en mouvement. »

Rosita Boisseau, Télérama

A découvrir

Youness Boussenna, La Provence – 23 juillet 2019

« Tour à tour, il évoque l’oppression d’une gestuelle empêchée puis la vitalité retrouvée par une chorégraphie à nouveau ample. Mais aussi par une vibration des pieds à la tête, la puissance qu’offrent les forces de la nature et de l’esprit qui, par l’alchimie de la création, transforment la douleur en libération »

France Ô – Info Soir Mardi 9 janvier 2018

Catherine Capel – Profession spectacle

« Magnifique spectacle, vécu de l’intérieur vers l’extérieur, vers une certaine spiritualité humaine. »

 

Geneviève Charras, L’amuse-danse – 22 juillet 2019

« Une danse furieuse, révoltée, agitée de soubresauts, de mouvements douloureux et sous-tendus par l’angoisse et l’oppression. De belles volutes, du sentiment dans cette distance aussi qui touche et émeut: le danseur s’y perd corps et âme et communique son aversion pour la cruauté du monde.Des projections d’images vidéo en contrepoint, paysages de couleurs ou effigie du danseur viennent répondre en dialogue à la danse live. Beau tableau mouvant de traces et signes magnétiques! »

Béatrice Chaland / b.c.lerideaurouge

Agité de soubresauts
A décoller les carreaux,
Papillonnant en lumière
Il cherche ses repères
Quand la nature opère
Sur son corps disloqué.
La «Blessure Sacrée»
A la sève marquée
D’une souffrance ancrée

«Théâtre Golovine»
Où le sang se décline
Sur voile vidéo
En longs et fin ruisseaux
Qui font obstacle aux sauts
Allongeant leur réseau
De flamboyants vaisseaux.

Un enchevêtrement
De nombreux filaments,
Sur l’autel de la danse,
Tire sa révérence.
C’est une renaissance
Au-delà des violences.

 Yourik Golovine, Radio Francebleu

« Bien écrit, profond et dense, c’est rare de voir la poésie si bien habitée par la danse »

Laurent Bourbousson, Ouvert aux Publics

« On sent le corps en danger et le corps pris de vertige. Le travail vidéo de Claudio Cavallari fait résonner les sentiments profonds que la violence voudrait étouffer et rend visible l’indicible ».

Christian Tortel, France TV

Une pièce hypnotisante, une projection cinq étoiles sur cinq écrans. En somme une danse en quête de sens qui fait d’un homme désarticulé un homme debout »

Céline Zug, Boîte à culture

« Un solo époustouflant »

Philippe Triay, La 1ère Francetvinfo

« Max Diakok poursuit sa quête esthétique et métaphysique »

Roland Sabra, Madininart

« Max Diakok poursuit son travail sur la quête du sens dans un balancement permanent entre polarités opposées et néanmoins complémentaires, travail captivant et fascinant »

« Paraboles du corps, Odyssée abyssale, Un rituel pour enlacer l’espace, une espèce de krik pour interpeller la cour quand elle dort »

Cie Boukousou

19 Rue de la Boulangerie
93200 Saint-Denis

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